Conseil municipal de Libreville : sur les lieux du litige qui oppose une école à un ressortissant libanais.

Suite au litige foncier qui oppose le centre préscolaire social de Lalala à un ressortissant Libanais, le Maire central par intérim Serge Wiliam Akassaga Okinda et l’équipe du conseil municipal de Libreville ont bien voulu s’enquérir de la situation en se rendant sur les lieux.
A Libreville, il n’est pas rare d’assister aux querelles relatives à l’attribution des parcelles des terres. S’il ne s’agi pas d’un terrain déjà vendu et donc revendu à d’autres personnes, c’est souvent des querelles d’ordre financier où l’une des parties peinent souvent à solder les frais des terrains, obligeant les propriétaires à faire recourir à la justice.
C’est sans doute l’une des raisons ayant été à l’origine du litige actuel entre la directrice du centre de préscolaire du quartier dit Lalala et un ressortissant Libanais prétandant être le propriétaire du site où est construit le complexe scolaire susmentionné.
Après avoir écouté la directrice dudit établissement dame Bibang, le maire Akassaga a pris l’engagement d’apporter son soutien à cette école qui en plus de faire du bien aux apprenants et aux parents d’élèves du 5eme arrondissement de la capitale soucieux de l’avenir de leur progéniture, participe de quelque manière que ce soit à la formation des élites du pays. «Ce litige prendra fin le plutôt possible », a-t-il rassuré.
Pour matérialiser cet accompagnement, le maire a promis apporter sa contribution à l’amélioration des conditions de travail et d’études au sein de l’école.
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